Le mercredi 19 octobre
C’est en présence de Vincent Helbo, Directeur Général de la police de contrôle, assisté de Karien Beullens, ingénieur–expert que Jean Castadot, Président, et Christophe Baert, Vice-Président, ont assisté à une réunion dont voici les éléments essentiels. Après avoir présenté l’association, le Président a stigmatisé les points sensibles tels que la « peur » devant des contrôles ressentis comme étant répressifs et la « démotivation » de nos jeunes entrepreneurs devant les diverses et contraignantes obligations administratives. Vincent Helbo a rappelé que l’Afsca est avant tout une police de contrôle, qu’elle procède aux inspections selon une « checklist » imposée aux restaurateurs. Ceux-ci étant contrôlés par des fonctionnaires provinciaux de l’Afsca sur le terrain. Si d’aventure les contrôles sont discutables, ce dernier informe que le restaurateur peut toujours contester le rapport auprès de l’UPC (Unité Provinciale de Contrôle) dont il est issu. Si cela ne suffit pas, le restaurateur peut faire appel à l’ombudsman de l’Afsca qui tranchera.
La visite du Ministre Willy Borsus lors du salon I love Horeca, en discussion avec, de gauche à droite, Jean Castadot (Président) et Michel Jonet (rédacteur-en-chef du magazine Euro-Toques et Philippe Votquenne (secrétaire) MM. Castadot et Baert soulignent qu’aux différents niveaux « d’appel » ce sont uniquement des agents de l’Afsca qui interviennent. Ils proposent qu’Euro-Toques puisse être considéré comme un élément de communication « participative » plus aisé entre les différents services de l’Afsca, et nos membres. Ceci pourrait favoriser la concertation et de la conciliation dont Euro-Toques peut être l’élément de liaison. Cette démarche n’étant que consultative doit être considérée comme un complément, sans immixtion, du travail déjà engagé par les fédérations HORECA nationales.
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